Généralement, les gens font l’immigration pour prospérer eux-mêmes. Ces immigrants deviennent parfois un fardeau dans le pays de destination et donnent souvent de nouveaux problèmes tels que le racisme. À partir de ce phénomène, ils ont les difficultés au secteur de l’économie, de l’éducation, et de la santé. Au début, la France accepte des immigrants pour supporter les ressources humaines. Cependant, au fil du temps l’afflux d’immigrants augmente et a un impact au niveau de pauvreté de l’état. Alors, le gouvernement français et l’union européenne réglementent les politiques d’immigration surtout aux immigrants en base âge.
En droit français, le terme pour les immigrants en base âge (moins de 18 ans), qui n’est pas français, et si aucun représentant légal (principalement leurs parents) ne les accompagne, c’est « Mineur Isolé Étranger » (MIE) ou « Mineur Non Accompagné » (MNA). La vie de MIE en France s’est représentée dans le roman de jeunesse Rage par Orianne Charpentier. Rage comme un personnage principal, vit en misère. Elle pense que la vie est tragique. Elle devait se battre seul à continuer sa vie. Les stresseurs l’ont exposée depuis l’invasion dans son pays d’origine et ils lui font survivre seul en France.
Cette immigrée mineure a une complexité psychologique intéressante à discuter. Ensuite, on formule ses problématiques dans l’identification des problèmes afin de décrire le phénomène de « dépression hostile » au personnage principal de l’immigrante enfant dans le roman de jeunesse d’Orianne Charpentier, intitulé Rage. Orianne présente souvent les problèmes de l’identité de jeunesse dans ses œuvres. Le questionnement sur l’identité est fondamental car le personnage est en phase de quitte l’enfance à l’adolescence. Selon elle, c’est une phase où se pose de question « qui suis-je? » et qui cesse de se définir seulement comme les enfants de nos parents. Dans ce cas, Rage est une jeune fille qui essaie d’entrevoir ce que signifie grandir et devenir adulte. Fatalement, elle ressent la nécessité de comprendre ce qui signifie, être soi-même. D’ailleurs, on se construit et se projeter dans l’avenir de réfléchir à qui on est.
Le roman Rage a été décernée plusieurs prix. L’un d’eux est le prix UNICEF pour la catégorie de littérature jeunesse, 13-15 ans en 2018. Cette appréciation est remise pour le dévouement d’Orianne aux enfants immigrants. Les enfants devraient recevoir d’une protection et d’une sécurité. Pourtant, ces refugiés doivent se battre pour leur vie dans un nouvel endroit où ils grandissent seul. C’est le MIE comme Rage, seul et isolé de lui-même et de son environnement. Orianne veut prouver que les MIEs, gaspillé, discriminé peuvent survivre et devient une inspiration. Aussi, ce livre est recommandé par le ministère de l’éducation nationale.
Après avoir lu le roman, on recueille les données de « dépression hostile » du récit. Les données collectées seront accumulées sous forme de tableau. Ce tableau guidera les lecteurs de ce memoire à comprendre chaque évènement important vécu par le personnage principal. Ensuite, on peut trouver l’indication qui mène au trouble psychologique de PTSD. Puis, on choisit les bases de la théorie pertinente à analyser. Alors, on analyse le personnage principal en appliquant la théorie du PTSD pour prouver les causes, les symptômes, les effets et les moyens de minimiser le PTSD. Bref, cette recherche utilise deux grands moyens d’analyser: l’analyse syntagmatique et l’analyse paradigmatique. Le lecteur peut comprendre le phénomène de « dépression hostile » à travers des intrigues séquentielles et une analyse directe du personnage principal.
Les relations syntagmatiques consistent en des séquences appelées fonctions dans des histoires fictives par Barthes. Ces fonctions sont toujours divisées: fonction principale qui est au cœur de l’histoire causale et du catalyseur ou des événements qui soutiennent la fonction principale. Il existe deux types de relations qui établissent ces fonctions, les relations chronologiques ou temporelles et les relations logiques ou causales. C’est-à-dire, les fonctions principales sont la relation causale, tandis que la fonction catalyseur est la relation temporelle. La méthode adéquate à la recherche d’exposer l’intrigue, sont l’ordre des unités d’histoire selon le texte et l’ordre chronologique qui est liée à l’élément temporel sans avoir de relation causale.
Les relations paradigmatiques sont constituées d’éléments dispersés et complémentaires dans l’œuvre littéraire narrative. Barthes déclare le concept d’une relation qui n’est pas liée par une relation causale, mais plutôt un concept dispersé et complémentaire qui inclut tous les indicateurs. Une œuvre a une relation paradigmatique si elle contient un indice, à savoir des informations dans l’œuvre qui expliquent l’identité, la nature, les pensées et les humeurs d’un personnage. Dans ce cas, on a besoin de deux éléments paradigmatiques afin d’expliquer les personnages: l’indicateur et l’informateur. L’indicateur explique les caractéristiques, les sentiments, les opinions des personnages et leurs points de vue ou une certaine atmosphère, l’élément implicite ou non écrite dans l’histoire. L’informateur explique l’heure et le lieu explicitement décrits dans l’histoire, le reliera ensuite aux faits et aux données d’une œuvre littéraire de fiction.
En ce qui concerne, il y a trois types de personnages par Goldenstein et cela se réfère à l’histoire de Rage. Rage est le personnage principal, Artemis comme le personnage secondaire (l’adjuvant ou alliés), et Jean, Dylan, sa tante, son oncle, la femme qui lui servait de geôlière sont les personnages figurantes (adversaires). On sait que le genre du roman de jeunesse identique au problème psychologique. Par conséquent, l’écrivaine postule la méthode d’approche de la psychologie littéraire. Elle se connecte les activités psychiatriques du personnage principal et les lois psychologiques qui expliquent le comportement et le caractère humain.
De même, le phénomène de « dépression hostile » est un symptôme psychiatrique du syndrome de stress post-traumatique qui affecte le comportement Rage. C’est pourquoi la théorie du PTSD est nécessaire dans ce cas. Cette théorie a été introduite pour la première fois par le psychologue français Jean Martin Charcot. Au début, le terme PTSD s’adressé aux soldats pendant la seconde guerre mondiale. Quelqu’un qui a subi et ou été témoin des violences de guerre, des agressions physiques, du harcèlement sexuel, des accidents de la route et d’autres catastrophes naturelles peut être indiqué ayant le PTSD. Ces personnes éprouvent un trouble anxieux excessif, effrayé et menacé des actions traumatiques ou appelé le stresseur.
Le stresseur est un facteur principal causant du PSTD. Selon Kaplan et Sadock il y a 12 facteurs socialement au PTSD comme les stresseurs traumatiques. Dans cette recherche, Rage montre 9 stresseurs traumatiques: en premier lieu, être autres témoin d’événements qui entraînent des blessures physiques ou la mort ou les tragedies qui font peur. Rage a vu par elle-même comment le chaos de l’invasion dans son pays d’origine où les gens affluaient pour le sauver avec des enfants et des bagages. Deuxième, Rage était une fois dans une situation qui menaçait la sécurité de sa vie quand elle et sa famille étaient parmi des milliers de victimes et essayaient de se sauver de la terreur de la guerre. Ensuite, Rage a été victime de violences sexuelles et a été torturée par des hommes irresponsables.
Puis, Rage était habituée à la mort subite qui s’était produite autour d’elle. Elle s’est séparée de ses proches et est devenue une MIE dans un endroit étrange pour elle. De plus, elle a survécu à la violence, aux catastrophes naturelles, et aux accidents graves. Dans un nouvel endroit, il a dû faire face à un nouveau combat pour ne raconter personne ses souffrances passées. Et aussi, elle a été contrainte de quitter son pays d’origine en raison de la situation dans son pays où il était loin de la paix et de la liberté. Itou, Rage était dans un état d’isolement lorsqu’elle est arrivée en France où il ne connaissait pas la langue et la culture. C’est-à-dire, soudain, elle était dans un état d’aliénation vis-à-vis de l’environnement, physique, culturel, des proches et des pairs. Par la suite, la perte de propriété, de moyens de subsistance, et d’intimité (droits personnels). C’est ainsi qu’elle voulait partager son expérience de la privation et des droits personnels en tant qu’être humain libre qui avait été perdu alors qu’il était réfugié. Enfin, elle etait dans une pénurie générale de nourriture, d’abri et de santé du fait que Rage vit dans un refuge d’urgence avec des installations de santé limitées.
Il paraît que les symptômes ressentis par Rage en tant que personne atteinte du Syndrome de Stress Post-Traumatique (SSPT). Evidemment, Rage a été exposée par le stresseur. Dans ce cas, le patient subit un traumatisme et est éloigné de lui-même et son environnement de sorte qu’il perd sa confiance en l’humanité et en l’amour. La mort était comme ami pour elle et elle avait toujours l’impression que son monde pouvait être détruit à tout moment. Alors, le patient SSPT entrera le symptôme de revivre. Rage a rappelé des événements traumatisants, des cauchemars, et des flashbacks passés. Et puis, les personnes souffrant de SSPT éviteront ce qui leur rappelle un traumatisme. Apparemment, la « dépression hostile », l’anxiété, et la peur de l’avenir sont les symptômes qui avaient été perçues par Rage dès son arrivée en France. De surcroît, le symptôme hyperarousal a été subit lorsque Rage ne dormait plus, mangeait à peine, agité, la peur et la vigilance excessive, panique et surprise excès, et surtout le rage qui est devenu son surnom et son ami tous les jours.
Ce SSPT avait un impact sur la personnalité de Rage. En tant que victime d’agression sexuelle par conséquent Rage automatiquement accable son niveau de SSPT. Comme l’a dit Wisdom CS, la violence sexuelle chez les enfants entraîne un trouble de stress post-traumatique ou un PTSD. Le premier impact, c’est la trahison. Les enfants font vraiment confiance à leurs parents et à leurs adultes. Dans ce cas, Rage ne fait plus confiance aux autres, surtout aux hommes du monde. Le deuxième, c’est la sexualisation traumatique. Rage avait une tendance à se fermer à quiconque, en particulier au sexe opposé. Ella a également refusé les relations sexuelles quand elle était dans la foule du parti. Elle s’est sentie dégoûté et nauséeux quand elle a vu une paire de femmes et d’hommes qui s’embrassaient.
Le troisième, c’est l’impuissance. Les victimes se sentiront faibles et incapables de faire quelque chose généralement accompagné de peur, de cauchemars, de phobies, d’anxiété et de douleur. Il y a aussi des victimes qui ont en elles-mêmes une intensité et des encouragements excessifs. Rage a ressenti de la douleur lorsqu’il s’est rappelé des événements du passé. De plus, elle a également mené une action incontrôlée en pointant un couteau sur l’un des occupants de la maison. Et enfin, c’est la stigmatisation. Cet effet inflige la mauvaise image de soi. La patiente se sentira coupable et honteuse résultant de l’effet précédent, à savoir l’impuissance à se contrôler. Rage est devenue inférieure et n’a que regardé le mal en elle. L’enfant se sentira différent des autres et elle est en colère contre son propre corps.
En dehors de tout cela, le contexte social a un impact aussi au niveau de risque de SSPT du personnage principal. Il y a 4 de 8 points adéquats au Rage qui peuvent augmenter le risque de SSPT par Weems. D’abord, selon Breslau le sexe féminin a un double risque de souffrir de SSPT. C’est parce que une faible synthèse de sérotonine chez la femme. Alors, l’âge: les enfants et les personnes âgées de plus de 60 ans sont sujets au SSPT. Les enfants ont des besoins spéciaux par rapport aux adultes, car il reste dépendant des autres physiquement, intellectuellement, et le manque d’expérience de vie aura un impact sur la personnalité de l’enfant. En outre, le niveau d’éducation de quelqu’un parce qu’un faible niveau d’éducation augmentera le risque de SSPT. En dernier, les autres troubles psychologiques: la dépression, la phobie sociale et les troubles anxieux. Une personne qui vit dans un camp de réfugiés, qui se trouve dans un conflit et un endroit isolé peut influencer le risque de SSPT. Donc, Rage présente un niveau de risque de SSPT très élevé. Elle est une fille en base âge (mineure), avoir un faible niveau d’éducation, avoir la dépression, isolée, et dans un camp de réfugiés ou dans un pays conflit.
Rage a migré puisque la condition du pays d’origine qui ne sont pas adaptées aux enfants. Les enfants de son âge devraient avoir la sécurité et le confort nécessaires pour grandir et se développer. Cette situation lui fait forcer de migrer en France. Fondamentalement, d’après Lee les immigrants font d’immigrer car son pays d’origine, le pays de destination, le facteur d’obstacle, et l’individu. Dans le récit, explicitement que Rage vient de pays en conflit. Il explique qu’elle n’a pas connu la France, mais la France est une terre d’asile et un pays qui peut garantir la prospérité et la sécurité de ses citoyens. Son ignorance et son âge qui n’est pas encore prêt sont un facteur d’obstacle lorsqu’elle a migré. Elle a vécu une culture de choc dès son arrivée en France, ella a donc été isolée de lui-même et de son environnement. Évidemment, Rage, elle-même veut vivre en harmonie comme une personne indépendante.
Rage a une complexité de l’identité. Cela se voit dans le titre d’une immigrante mineure qui vit seule. Elle a été forgé à plusieurs reprises par des événements déchirants qui l’ont conduit à être exposé à des troubles psychologiques, « dépression hostile ». Comme une mineure, ou en droit français on appelé MIE cela se réfère à la minorité, la vulnérabilité et l’isolement. C’est difficile d’obtenir la facilité d’éducation et d’économie parce qu’elle dans une position n’est pas juridiquement solide. Et il y a toujours le stigma aux immigrants qu’ils sont “différents”. À l’âge de Rage, les titres et les problèmes qu’il a reçus étaient très lourds. Mais, à la fin d’histoire Orianne réussi à éduquer avec des styles de langue qui sont facilement compris par les enfants.
Le roman de jeunesse ici se représente l’humanité, l’amitié, et l’égalité. Rage était une fille qui a soif de justice. Là, elle a joué un peu avec la loi. D’un côté, elle était une personne qui obéit aux règles. Mais de l’autre côté, elle a refusé de donner la priorité à la loi sur l’humanité comme une forme de rébellion contre la vie. Rage est souvent dans une ambivalence entre l’égoïsme, le droit et l’humanité. Elle doit être une personne mûre et la vie l’a façonné pour être une personne dure. Essentiellement etant roman pour enfants, alors il explicite une amélioration de soi au personnage principal. On peut dire que Rage est redevenue normale physiquement et psychologiquement.
Ce processus de récupération peut se produire en raison de facteurs internes et externes. Selon Charney il y a 5 points de prévention ou guérisseurs de SSPT et on le divise en deux. Les facteurs interne sont la motivation, de ne pas se blâmer soi-même, capable de traverser des moments difficiles, la stratégie coping, et capable d’agir et de répondre malgré la peur. Alors, les facteurs externe sont le soutien des amis et de l’environnement et trouver des groupes de soutien après un événement traumatisant. Rage combat le SSPT avec le pouvoir en elle. Elle croyait que tout le monde avait la capacité de se remettre de la naissance. Ensuite, elle ne s’est pas blâmée et a pu traverser des moments difficiles jusqu’à ce qu’elle récupère. Malgré la peur, Rage a lutté toujours pour ses droits en tant qu’être humain indépendant. Elle a combattu sa peur avec colère pour se venger de sa vie passée. Cela peut être classé comme une stratégie de coping car tout le monde a des façons différentes de guérir.
Le potentielle a été provenu du fait que Rage est déclenchée par son cercle. Elle a été inspirée par Artemis qui était à la fois un MIE comme elle. Rage a trouvé un groupe qui l’a soutenue après un événement traumatisant. Cela a été prouvé quand il a rencontré des MIE à l’hôpital, rencontré Artemis, Jean, et Dylan. Sa rencontre avec une chienne a été un tournant dans sa vie. Il semblait avoir retrouvé sa vie et il sentait qu’il avait retrouvé son âme. Le conflit de la vie lorsqu’il est arrivé en France jusqu’à ce qu’il puisse élever sa chienne n’était autre que le soutien de ses amis. Donc, un moyen efficace dans le processus de guérison est de s’adapter et de socialiser avec le nouvel environnement. Enfin, Rage est tombée amoureuse de Jean et commence sa nouvelle vie avec sa chienne.
Donc, la conclusion qui peut être tirée est le bouleversement psychologique du personnage principal pour se redéfinir est un symbole que lorsqu’un enfant atteint l’âge adulte, il est détaché de la dictée de ses parents pour commencer à se définir comme il le souhaite. Le conflit d’un MIE avec une dépression hostile donne la perspective qu’une minorité a le droit à l’égalité. Dans ce cas, la rage d’une chienne est un symbole de la résistance du personnage principal à l’injustice. Autrement dit, le personnage principal veut montrer que chaque enfant a la même opportunité de grandir et de se développer.
Alifa Zahra 